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Beaucoup d’entre vous ont certainement entendu parler d’un whisky surprenant qui, un jour, lors d’une dégustation à l’aveugle en Écosse, en a laissé plus d’un bouche bée. Eh bien, ce whisky, que beaucoup ont désigné comme le meilleur, ne venait pas exactement d’Écosse, mais… du Japon ! Son nom ?  Nikka, et ce mois-ci nous vous le présentons sur le blog du Oriental Market.

Nikka a la particularité d’être la distillerie japonaise qui a remporté le prestigieux concours international Spirits Challenge 2015. La marque a été fondée dans les années 1930 par Msataka Taketsuru. Un Japonais qui, en 1918, a décidé de parcourir la moitié du monde pour rejoindre l’Écosse et apprendre l’art de la distillation. Son séjour dans cet endroit a été très pittoresque et il a été captivé par le whisky de la région et ses principales caractéristiques. Cela l’a conduit à retourner dans son pays natal, le Japon, pour construire la première distillerie de whisky japonais en Asie, environ 6 ans après son voyage. Il a créé son propre Whisky Nikka, puis ses deux distilleries suivantes dans la région de Yoichi et Miyagikyo (précisément deux des whiskies que nous avons dans notre boutique en ligne aujourd’hui). Taketsuru, fin connaisseur de la technique, a été très méticuleux dans le choix de chaque site naturel, prenant en compte les ressources de la zone, l’air et l’environnement naturel en général afin d’obtenir un whisky de qualité supérieure. C’est pourquoi nous pouvons dire aujourd’hui que Nikka est la distillerie de whisky premium la mieux notée au monde.

Au Oriental Market, vous pouvez trouver 8 variétés différentes : Nikka Blended Whisky, Nikka ‘From the Barrel’, Nikka Coffey Grain, Nikka Coffey Malt, Nikka Pure Malt Black and Red, Nikka Yoichi et Nikka Miyagikyo. Vous trouverez ci-dessous les notes de dégustation de chacun d’entre eux :

Avant de définir le mot “Hondashi”, nous allons expliquer le mot “dashi”. Il est connu sous le nom de “dashi” pour le bouillon essentiel de la cuisine japonaise, un bouillon de base pour de nombreuses recettes de la gastronomie orientale qui requiert sa saveur pour les meilleurs plats. Un point de départ pour cuisiner des recettes vedettes comme les nouilles orientales ou la soupe miso. Son ingrédient vedette ? Des algues Kombu. Ce type d’algue laminée peut être trouvé séché, sous forme de feuilles pressées, ou frais (sous forme de sashimi). Cependant, ce n’est pas le seul ingrédient…

Outre l’algue kombu, on peut trouver d’autres variétés à base de bonite séchée ou de champignons shiitake (pour les plus végétariens). Maintenant que nous savons plus clairement ce qu’est le dashi, qu’est-ce que le hondashi ? Eh bien, si l’on suit l’origine du mot, il s’agit de ce bouillon instantané en poudre (une merveille de la modernité). Vous pouvez trouver l’hondashi dans différents formats dans notre boutique en ligne, visitez-la !

Si vous souhaitez déguster ce condiment, voici une excellente recette :

Bouillon de mer avec Udon et fruits rôtis.

Ingrédients

• • • • 200 gr. de nouilles udon.
      • 250 gr de crevettes
      • 25 g de wakame séché.
      • 1 cuillère à café de hondashi
      • 1 poivron vert
      • 1 poivron rouge
      • 1 oignon de printemps
      • 2 tiges d’oignons nouveaux.
      • 2 poires
      • 2 pommes
      • 4 cuillères à soupe de sauce soja
      • 2 litres d’eau
      • Huile de sésame
      • Huile d’olive
      • Sel
      • Poivre
      • 1 cuillère à café de graines de sésame grillées.

    Préparation :

    Lavez les poires et les pommes et placez-les dans un plat allant au four. Faites cuire au four à 180º C pendant 20 minutes. Mettez de côté. Pour préparer le bouillon, pelez les crevettes, mettez-les de côté sur une assiette et placez les carapaces dans une grande casserole. Ajouter le hondashi, l’algue wakame hachée, 1 cuillère à soupe d’huile de sésame et la sauce soja. Faites cuire pendant 10 minutes. Filtrer le bouillon, écumer et remettre sur le feu. Lorsqu’elle arrive à ébullition, ajoutez les udon et laissez cuire pendant 5 à 8 minutes. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Mettez de côté.

    Coupez l’oignon de printemps, le poivron vert et le poivron rouge en julienne et faites-les sauter dans une poêle avec un peu d’huile. Assaisonnez et ajoutez les crevettes. Faire sauter brièvement. Mettez les légumes dans le fond du plat, placez les nouilles par-dessus et versez le bouillon. Hacher finement les tiges d’oignons de printemps et en parsemer la soupe. Saupoudrer d’un peu de graines de sésame grillées. Servez avec les fruits rôtis.

La sauce teriyaki est l’un des condiments vedettes de la cuisine japonaise, et elle est également très populaire en Occident. Il est généralement connu comme un assaisonnement au goût sucré, mais il s’agit en fait d’une technique gastronomique, dont le nom résulte de la combinaison des termes “teri”, qui se traduit par “briller”, et “yaki”, qui signifie “grillé”. C’est pourquoi les plats assaisonnés de sauce teriyaki se caractérisent par leur brillance et leur tonalité caramélisée.

Qu’est-ce que la sauce teriyaki (préparation, assaisonnement) ?

La sauce teriyaki est un condiment composé de quatre ingrédients principaux : la sauce soja, le sake, le mirin et le sucre.

Comme beaucoup de nos lecteurs le savent, le saké est l’une des boissons alcoolisées les plus populaires du Japon, fabriquée par la fermentation du riz selon un processus similaire à celui de la bière. Le mirin, quant à lui, est un autre type de vin de riz, mais plus doux et moins alcoolisé que le saké. Le saké et le mirin sont des produits que vous pouvez acheter dans l’une de nos boutiques de Barcelone ou de Madrid qui vendent des produits asiatiques et gastronomiques. Une autre bonne alternative est de les acheter en ligne à un bon prix dans notre boutique en ligne.

La préparation de la sauce teriyaki est très simple : mélangez le saké, le mirin et la sauce soja dans une casserole et mettez-la à feu doux. Ajoutez ensuite le sucre, en remuant jusqu’à ce qu’il soit complètement dissous. Laissez la sauce mijoter jusqu’à ce qu’elle soit réduite et ait une texture légèrement épaisse et visqueuse. Cependant, c’est le consommateur lui-même qui obtiendra un niveau d’épaississement plus ou moins élevé selon son goût.

La proportion de chaque ingrédient varie également en fonction du goût, mais il est habituel de préparer la sauce Teriyaki avec trois mesures de mirin, trois mesures de sauce soja, une mesure de saké et une mesure de sucre.

De nos jours, il existe de nombreuses variantes de cette sauce. En fait, les sauces prêtes à l’emploi commercialisées sous le nom de teriyaki comprennent généralement d’autres ingrédients, tels que du sésame, du gingembre, de l’ail, des zestes de citron ou d’orange, du jus d’ananas, etc.

Cette sauce est généralement utilisée pour mariner ou assaisonner les viandes, les volailles et les poissons avant de les griller. Il est recommandé que le poisson soit intensément parfumé – comme le thon ou le saumon – afin que la sauce n’élimine pas totalement la saveur du poisson.

Si vous souhaitez que le produit grillé ait une saveur de sauce intense, il est conseillé de continuer à ajouter de la sauce (avec un pinceau) pendant que la grillade se termine, ou même d’ajouter une dernière couche une fois qu’il a été retiré du gril. Parmi les recettes les plus typiques et les plus connues en Occident figurent le poulet teriyaki (généralement servi en brochette), le bœuf teriyaki et le saumon teriyaki. Accompagné de riz – bouilli ou frit – c’est un plat qui satisfera tout le monde, même les enfants.

En plus d’accompagner la viande et le poisson, la sauce teriyaki est également utilisée comme condiment pour les légumes et les nouilles au wok, entre autres.

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Recette japonaise : poulet teriyaki

Recette japonaise de poulet teriyaki

Origines

L’origine de la sauce teriyaki remonterait au Japon du XVIIe siècle, bien que d’autres hypothèses suggèrent qu’elle est née en dehors de l’archipel japonais.

D’autre part, d’autres théories suggèrent que la sauce est une création des premiers immigrants japonais qui se sont installés sur l’île d’Hawaï et qui ont fabriqué un condiment distinctif à partir de produits locaux tels que le jus d’ananas, mélangé à de la sauce soja.

Par conséquent, son origine réelle n’est pas claire, mais ce qui est clair, c’est qu’il a été appelé teriyaki depuis les temps anciens en raison de sa méthode de cuisson.

Quel est le goût de la sauce teriyaki ?

La sauce teriyaki est utilisée pour rehausser la saveur des plats et stimuler les sens pour une expérience gustative agréable.

La sauce Teriyaki a une texture gluante et un goût sucré et épicé distinctif. Comme indiqué plus haut, la saveur de la sauce peut varier en fonction des ingrédients utilisés et de leur quantité. Cependant, la sauce teriyaki a un goût sucré prédominant, apportant une touche très spéciale et savoureuse aux viandes grillées, qui acquièrent plus d’arôme et une saveur plus intense.

En fait, cette sauce est utilisée pour ajouter une saveur supplémentaire en infusant les aliments cuits avec la sauce. Elle est également parfaite pour remplacer l’huile ou le beurre lors de la cuisson à la poêle, car la sauce elle-même empêche les aliments de coller.

Ces derniers mois, de nombreuses personnes ont été encouragées à essayer la cuisine japonaise à la maison. En ce sens, les recettes traditionnelles telles que les sushis sont devenues le plat vedette des déjeuners et des dîners spéciaux. Parce que c’est l’un des plats préférés des adultes et des enfants, parce qu’il est amusant à préparer et que les plus jeunes membres du foyer participent à sa préparation, parce que nous voulons surprendre nos invités, etc… Quelle que soit la raison, le sushi est devenu l’un de ces plats qui nous aident à créer des moments uniques et appétissants avec notre famille et nos amis. Mais savons-nous tout sur ce plat ? En dehors de l’algue nori, quels types d’algues pouvons-nous utiliser pour préparer des sushis ? Quel usage pouvons-nous faire de chacune d’entre elles pour créer des plats différents et sains ?

Quel type d’algue est utilisé pour les sushis?

La réponse la plus courante : l’algue nori. Et à juste titre. Sans aucun doute, l’algue nori est l’algue par excellence de ce plat fabriqué au Japon. Mais est-ce la seule algue? Non. Il en existe d’autres, que nous évoquerons ci-dessous et que nous mettrons en avant afin de découvrir comment tirer le meilleur parti de nos sushis.

L’algue Nori, l’algue la plus connue de la cuisine japonaise, se distingue par sa petite taille et sa finesse et par le fait qu’elle change de couleur, passant du noir au vert, lorsqu’elle est cuite. Il s’agit d’une algue issue de la culture et qui est séchée au soleil ou au four sur des nattes de bambou pour être utilisée dans les sushis. Après ce séchage traditionnel, les algues sont traitées en feuilles, et se distinguent par une texture plus rugueuse d’un côté et une texture lisse de l’autre. Une algue souple que l’on peut mouler pour rouler nos makis. Cette algue se trouve désormais aussi sous forme de snack ou d’assaisonnement pour nos salades ou plats de pâtes orientaux, ou furikake, ainsi qu’en accompagnement de la soupe miso. C’est sans aucun doute l’algue vedette !

Mais comme nous l’avons dit, ce n’est pas la seule algue qui peut être utilisée pour faire des sushis. Pour la préparation de ce plat savoureux, nous pouvons utiliser d’autres versions telles que : le wakame, également très commun dans les salades. Ce type d’algue se distingue par sa couleur verte intense et peut être trouvé frais ou séché. Lorsque l’algue wakame est fraîche, elle se distingue par sa texture gélatineuse due à sa forte teneur en eau. D’un point de vue nutritionnel, on peut dire que l’algue wakame présente de grands avantages en termes de protéines et de glucides, ainsi que de calcium et d’acide folique. Bien que, comme nous l’avons dit, il soit généralement présenté dans les salades et en accompagnement des sushis, il peut également être utilisé comme garniture. C’est ainsi qu’il est présenté dans une recette originale de Senen’s Kitchen : Foie and Wakame Seaweed Sushi.

D’autres algues qui peuvent également être utilisées pour les sushis ou comme plat d’accompagnement sont :

Algue Tengusa : une algue essentielle dans la préparation du célèbre agar-agar. Ce type d’algue se distingue par sa couleur jaunâtre à rougeâtre, et parce qu’elle peut être consommée chaude ou froide. Une autre algue également essentielle à la production d’agar-agar est l’algue ogonori. Ces deux algues sont couramment utilisées dans les versions frites des plats sashimi.
Algues Arama : Remarqué pour sa couleur foncée, son goût sucré et sa texture quelque peu croquante, ainsi que pour sa haute teneur nutritionnelle en fer, calcium et iode. Pour le consommer, il est indispensable de le faire tremper au préalable pendant 20 minutes.
Algue Hijiki : Elle se caractérise par une croissance de sa taille après trempage. Il est généralement servi avec des carottes et de la sauce soja. Tous deux peuvent être utilisés comme garniture de sushi ou comme accompagnement ou salade.
Algue Tosaka : Si nous poursuivons la liste des algues TOP pour les sushis, nous trouvons également parmi elles l’algue Tosaka, également connue sous le nom de crête de coq, que l’on peut trouver en vert, rouge ou blanc. Ce type d’algue se distingue par ses tiges épaisses et frisées, très courantes comme garniture pour le sashimi.
Algues Suginori : Ce type d’algues est plus fin et plus ramifié que les algues mentionnées ci-dessus. Il est également très courant en accompagnement des sashimis.
Algue Pyropia tenera : Nous souhaitons également mentionner cette algue minimaliste, également connue sous le nom de gim, un type d’algue nori qui se distingue par sa petite taille, sa couleur rougeâtre et sa texture délicate.

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Recettes avec des algues pour sushi

Nous vous présentons quelques-unes des recettes de sushi les plus populaires, les plus faciles et les plus savoureuses qui incorporent des algues:

Comment faire des SUSHI HOMMÉS étape par étape avec les algues nori.

Comment faire des sushis à la maison : California Roll et Maki Sushi enveloppés d’algues.

Comment faire des Sushi authentiques au Japon?

Comment les algues sont-elles utilisées dans la préparation des sushis ?

Comme nous l’avons vu dans la section précédente, les algues peuvent être présentes de différentes manières lorsque l’on mange des sushis. Si l’on se réfère à l’algue la plus courante pour rouler les sushis, il s’agit sans aucun doute de l’algue nori. Ce type d’algue est généralement disponible dans notre boutique en ligne par paquets de 10 feuilles. Pour ce faire, il suffit de placer la feuille d’algue nori sur un tapis et un film alimentaire, toujours avec le côté rugueux vers le haut. Nous plaçons ensuite le riz à sushi et les légumes ou le poisson ou d’autres ingrédients que nous utiliserons comme garnitures pour nos préparations. L’algue nori, dans sa version topping ou snack, peut également être utilisée pour décorer nos sushis.

Nous pouvons utiliser l’algue wakame pour la garniture. Dans ce cas, nous serons très discrets sur l’utilisation des quantités. Il suffit de placer une petite quantité à l’intérieur, toujours en position horizontale, juste après le riz. Nous les placerons près l’un de l’autre afin qu’ils soient pressés l’un contre l’autre lorsque nous enroulerons nos sushis. Le reste des algues, que nous pouvons utiliser en accompagnement de nos salades ou avec le sashimi, doit être appliqué délicatement pour donner cette touche de saveur marine à notre recette au sommet du sushi, avec le wasabi (par exemple).

Il y a quelques jours, nous avons parlé des types d’algues qui peuvent être utilisées pour préparer les sushi. Dans cet article, nous allons nous concentrer sur l’une d’entre elles, la plus courante : l’algue nori. Pourquoi “nori” ? Nori est un terme japonais utilisé pour désigner les variétés d’algues comestibles. Et par “algue nori”, nous entendons les feuilles d’algue couramment utilisées pour la fabrication des sushis. Cependant, comme nous l’avons déjà appris, l’innovation alimentaire a permis de trouver cet ingrédient dans de nombreux autres formats et présentations, comme les snacks. Nous allons découvrir ci-dessous ses propriétés nutritionnelles, ses bienfaits pour la santé et où l’on peut acheter ce type d’algue nori.

Propriétés de l’algue nori

Également connue sous le nom de “sea ovo”, l’algue nori est une excellente source de vitamines, de minéraux, de protéines, de glucides et de chlorophylle. Nous savons que les algues sont l’un des ingrédients les plus sains par excellence, c’est pourquoi elles sont toujours présentes dans la grande majorité de la cuisine mondiale. Sans aller très loin, on le retrouve dans la cuisine galicienne. Pour cette raison, sa consommation dans la culture japonaise dépasse toutes les attentes. L’algue Nori est un aliment très polyvalent que l’on peut trouver en feuilles ou en flocons. En ce sens, l’algue est utilisée non seulement pour rouler les sushis, mais aussi comme ingrédient dans les salades, comme garniture dans les soupes miso (un plat très courant en automne-hiver) et enfin comme en-cas. Un en-cas que beaucoup ont intégré dans leur alimentation quotidienne. C’est également un ingrédient hautement recommandé pour l’alimentation des sportifs.

Pour bénéficier des propriétés de l’algue nori, il faut être capable de reconnaître une algue de qualité. À cet égard, les experts recommandent de prendre en compte : son origine et sa culture, sa texture (une bonne algue doit être homogène), sa couleur verte intense, son séchage (il ne faut pas oublier, comme nous l’avons mentionné précédemment dans l’un de nos articles, que ce type d’algue est traité par cuisson à haute température pour obtenir cette touche sèche et croquante avec une couche rugueuse et lisse d’un côté et de l’autre) et sa brillance intense. Le respect de ces caractéristiques confirmera que nous avons affaire à une algue nori de bonne qualité et que ses propriétés sont donc maintenues.

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Les bienfaits des algues nori

Lorsque l’algue nori est de bonne qualité et qu’elle répond aux propriétés mentionnées ci-dessus, nous pouvons dire que nous bénéficierons de certains avantages pour notre organisme. En tant que source de vitamine A, nous contribuerons à la formation des muqueuses, à la santé de nos yeux, de notre peau, de nos ongles, de nos cheveux, de nos dents et de nos os ; en tant que vitamine B, parmi laquelle nous trouvons les vitamines B1, B2 et B3, nous contribuerons à un bon métabolisme et au bon fonctionnement du système nerveux ; la vitamine C, sera nécessaire à notre bien-être, surtout pendant la saison la plus froide de l’année. Les algues Nori sont également riches en minéraux (calcium, iode, fer, potassium et magnésium), en protéines, en glucides et en chlorophylle. Il s’agit donc d’un aliment idéal pour : l’élimination des graisses corporelles, la prévention de l’artériosclérose, comme aide contre l’hypertension et l’asthénie ; c’est un ingrédient digestif, qui contribue également à renforcer les ongles et les cheveux, ainsi qu’à permettre l’élimination des métaux lourds de l’organisme tels que le mercure. Enfin, on dit aussi que c’est un aliment qui aide à améliorer l’activité de la thyroïde.

Où cette algue est-elle cultivée ?

L’algue nori par excellence est cultivée dans les mers du Japon. Les zones les plus réputées pour ce type de culture sont notamment la mer d’Ariake, connue comme le plus grand marais salé du Japon, une petite mer située sur l’île de Kyushu, et la mer intérieure de Seto, une mer au sud du Japon qui sépare les îles de Honshu, Shikoku et Kyushu. Ces deux zones sont réputées pour leur grande biodiversité et abritent certaines des meilleures algues nori du monde.

Si nous devons parler de deux facteurs clés pour la bonne culture de l’algue nori, ce sont la température de l’eau et l’alimentation de l’algue. En ce qui concerne la température, les experts confirment qu’il est important que la température ne dépasse pas 23 degrés Celsius. Malheureusement, le changement climatique ne facilite pas les choses. Chaque année, la température de l’océan Pacifique augmente, ce qui signifie un réchauffement progressif de l’eau et donc une diminution de la prolifération de ce type d’algues dans les zones susmentionnées. D’autre part, les engrais. Les bonnes pratiques agricoles permettent de réduire l’utilisation d’engrais dans les champs, un élément essentiel pour nourrir les algues. Pour être cultivée, l’algue nori est suspendue à des poteaux et laissée pousser au vent afin de renforcer sa saveur. Le moment idéal pour la culture est pendant les froides nuits d’hiver.

Fabrication de l’algue nori pour les sushis

Vidéo intéressante de la chaîne DMAX, où l’on peut voir comment l’algue nori est cultivée et le chemin qu’elle emprunte de la mer à nos cuisines.

Recettes à base d’algues Nori

Nous vous présentons quelques recettes à base d’algues nori:

Recette facile d’onigiri

Comment faire des sushis japonais faits maison et cuire le riz

Sandwich aux algues Nori

Il est certain que si vous entrez dans le moteur de recherche Google et tapez “Yakiniku”, vous aurez trouvé des milliers d’articles qui font mention de ce mot japonais. Cependant, le doute s’installe lorsqu’on les lit et qu’on constate que certains font référence à un type de plat, d’autres à un style de cuisine, d’autres encore à une sauce spécifique, pour ne citer que quelques exemples… Quelle est l’option correcte ? Je ne veux pas vous décourager, mais en réalité, ils ont tous raison. Le mot “Yakiniku” est devenu une tendance et est utilisé pour désigner les ingrédients et la recette de tout plat de viande grillée dans la cuisine japonaise. Un style de cuisson de la viande en morceaux auquel on ajoute généralement une sauce spéciale. Cette semaine, à Oriental Market, nous voulons que vous sachiez TOUT sur le yakiniku et son incorporation dans certains des meilleurs restaurants de notre pays :

Tout savoir sur ce plat

Lorsque nous évoquons le Yakiniku au Japon, nous sommes face à ce que l’on appelle accidentellement la “viande au barbecue”, mais qui se distingue par des particularités bien différentes. Dans le Yakiniku, nous sommes confrontés à un assortiment de viandes toujours de très bonne qualité, coupées très finement et en petits morceaux. C’est important car dans la cuisine orientale, on utilise généralement des baguettes. Il est à noter qu’en plus de la viande, on trouve de plus en plus souvent dans un “Yakiniku” des légumes, comme dans tout grill occidental typique, ainsi que des fruits de mer. La touche finale de ce délice est apportée par la sauce qui porte le même nom, la sauce Yakiniku.

Avez-vous déjà voyagé au Japon et été dans un restaurant Yakinuku ? Ils sont caractérisés par l’inclusion au milieu de la table des convives d’un petit brasero à charbon de bois dans lequel les clients peuvent rôtir directement la viande qui est présentée crue et obtenir le point à votre goût en 30/60 secondes. Leur menu comprend un large éventail de viandes, ce qui vous permet de choisir celle qui vous plaît ou d’essayer les spécialités locales telles que les “steaks de langue de bœuf” ou l’exquis bœuf de Kobe. C’est un moment agréable pour apprécier encore plus la préparation des ingrédients de cette gastronomie.

Pour accompagner les viandes qui sont habituellement cuites sur le gril, au Japon, vous pouvez utiliser des légumes ou des céréales comme le riz ou le maïs. Parmi les légumes les plus courants, on trouve : aubergines et courgettes, tomates et poivrons.

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Origine du Yakiniku

Les débuts de ce plat remontent à la Seconde Guerre mondiale. Une théorie communément admise veut que le yakinuku soit le plat anciennement connu sous le nom de “horumon-yaki” (restes de bœuf ou de porc grillés), qui a été introduit au Japon par des immigrants coréens. Plus tard, les étals connus sous le nom de “horumon-yaki” étaient ceux où l’on utilisait la longe et les côtes de porc, et qui sont maintenant devenus des restaurants réputés. Sans aucun doute, ce plat a été une tendance montante au cours de l’histoire, car il est passé d’un plat #streetfood à l’épicerie fine des restaurants qui incluent ce plat dans leur menu ou qui s’y consacrent exclusivement.

Comme il s’agit d’un plat japonais d’origine qui est arrivé en Corée plus tard, on peut trouver deux façons différentes de le préparer. Alors que la version coréenne se caractérise par le fait que la viande est marinée avant d’être grillée (en utilisant toujours la sauce Yakiniku), dans la version japonaise c’est le contraire, la viande est présentée crue et “trempée” dans la sauce avant d’être dégustée. Aujourd’hui, ce plat débarque en Espagne, prêt à ravir les palais les plus exquis et à créer une expérience unique et partagée dans les restaurants orientaux.

Si vous êtes passionné de cuisine japonaise et que vous êtes de Barcelone, vous avez de la chance. Manger avec des baguettes est à la mode et, par conséquent, Barcelone offre un large éventail de restaurants pour tous les goûts et tous les budgets. Parmi ses rues et ses coins charmants, vous trouverez les plats les plus typiques de la culture japonaise : sushi, ramen, poisson, soupes miso, mochis… Afin de vous faciliter la tâche et de vous permettre de faire un voyage au pays du soleil levant sans quitter la ville, nous vous proposons une liste des meilleurs restaurants japonais de Barcelone.

Liste des meilleurs restaurants japonais de Barcelone

Le meilleur ramen : Ramen Ya-hiro

Carrer de Girona, 164
Téléphone : 930028441

Le ramen est l’un des plats phares de la cuisine japonaise. Ce bouillon maison emblématique est généralement préparé avec du poulet, du porc ou du poisson séché. Il est accompagné de sauces qui définissent sa saveur, comme le miso ou le soja, et on y ajoute des nouilles et des garnitures comme de la viande, des champignons tamago. Le restaurant Ya-Hiro est un petit établissement confortable de la ville, spécialisé dans le ramen, qui est la principale raison de sa popularité à Barcelone. Maintenant que le froid se fait plus intense, vous ne pourriez pas avoir envie d’un bol de soupe chaude pour vous réchauffer.

Pour les amateurs de sucreries: Akashi Gallery

Carrer Rosselló, 197
Téléphone : 931250877

Akashi Gallery Barcelona est un bar à sushis et une galerie de photographie créés par Tina Bagué et Toru Morimoto, photographes experts et amoureux de la culture japonaise. Cependant, le restaurant est né comme un salon de thé traditionnel, il se distingue donc par ses desserts faits maison. Au menu, vous trouverez une variété de sucreries typiques comme le dorayaki au Nutella, le tiramisu au matcha, le cheesecake au tofu, le fondant au yuzu ou les mochis originaux aux saveurs différentes.

Meilleur rapport qualité-prix: Kiku Chan

Rue Numancia, 33
Téléphone : 934107247

Un restaurant sans prétention qui propose un menu varié et étendu de délicieux plats japonais à un prix imbattable, c’est le Kiku Chan. L’endroit est petit, de style taverne, et n’a pas une grande décoration, mais ne vous laissez pas berner. Vous connaissez le dicton… le meilleur est à l’intérieur. Dans ce cas, à l’intérieur de la cuisine.

Avant-garde: Koy Shunka

Carrer d’en Copons, 7
Téléphone : 934127939

Situé dans l’emblématique Barrio Gòtic, Koy Shunka est le premier restaurant de Barcelone à avoir reçu une étoile Michelin. Son chef et propriétaire, Hideki Matsuhisa, est considéré comme le Ferran Adrià japonais pour avoir proposé des ingrédients frais dans des plats raffinés mais surtout très savoureux. En outre, il offre la possibilité d’essayer un menu dégustation, qui est un spectacle de saveurs orientales. Si vous recherchez une gastronomie élégante et de haut niveau, le Koy Shunka est votre meilleure option.

L’éternel: Yamadori

Carrer d’Aribau, 68
Téléphone : 934539264

Ouvert dans les années 1970, le restaurant Yamadori est considéré comme le premier restaurant japonais de Barcelone. Situé au cœur de l’Eixample, ce restaurant est décoré dans le style japonais typique avec un bar à sushis et propose un large éventail de plats japonais traditionnels. Sa caractéristique la plus remarquable est simple : son authenticité. Après plus de 30 ans de trajectoire, il a toujours la même décoration et la même structure que le jour où il a ouvert ses portes pour la première fois. Merci Yamadori de nous avoir fait découvrir les joyaux gastronomiques les plus symboliques de votre culture.

Une taverne moderne: Can Kenji

Carrer del Rosselló, 325
Téléphone : 934761823

Can Kenji est un restaurant inspiré des tavernes traditionnelles japonaises, les izakayas. Un izakaya est un local typique de la culture japonaise où vous pouvez manger de petites portions des plats les plus populaires, ou en d’autres termes, des tapas. C’est l’endroit idéal pour prendre un verre après le travail, se détendre et passer un bon moment. Depuis son ouverture en 2010, la taverne Can Kenji n’a cessé de proposer les saveurs les plus classiques de cette gastronomie ainsi que des plats plus créatifs d’inspiration méditerranéenne. Un tandem infaillible entre les recettes traditionnelles les plus authentiques et la cuisine méditerranéenne d’avant-garde.

Fusion: Casa xica

Carrer de la França Xica, 20
Téléphone : 936005858

Les gyozas au confit de canard, les moules au bouillon de noix de coco, le kimchi de calçot, le poisson frais du jour au curry rouge ou le secret ibérique à la sauce aux huîtres sont quelques-uns des plats que vous trouverez à la Casa Xica. Cela vous semble-t-il étrange ? C’est parce que ces plats sont le résultat de la fusion des trésors gastronomiques de la Catalogne et de l’Asie. Le restaurant a été fondé par trois partenaires catalans qui, lors d’un voyage en Malaisie, ont été éblouis par la gastronomie orientale et ont eu l’idée d’ouvrir leur entreprise. Comme son nom l’indique, la Casa Xica est un petit lieu intime où vous pourrez apprécier les saveurs exotiques de la cuisine asiatique préparée avec les meilleurs produits méditerranéens frais.

Voulez-vous faire certains des plats de ces restaurants à la maison ?

Nombre d’entre eux achètent les produits, les ingrédients et les matières premières dans notre boutique à Barcelone ou en ligne, importés directement du Japon. Parmi les ingrédients les plus populaires, citons les sauces soja (dont nous avons une grande variété : sans gluten, légères, pour les gyozas), certains des meilleurs sake du monde et les algues sous toutes leurs formes (nori, kombu, agar agar…).

La nourriture japonaise fait partie de ces choses que l’on aime ou que l’on déteste. Eh bien, si vous faites partie du premier groupe et que vous êtes à Madrid, sachez que c’est l’un des meilleurs endroits pour sentir les saveurs les plus caractéristiques de la cuisine asiatique. La capitale est l’une des plaques tournantes de la gastronomie du pays et accueille pour cette raison un grand nombre de restaurants. Comme avec tant d’options, il peut être difficile de choisir où aller, voici une liste de ce que nous considérons comme les meilleurs restaurants japonais de la ville. Commencez le tour des Madrid les plus japonais !

Liste des meilleurs restaurants japonais de Madrid

Celui avec l’étoile michelin : 99 Ko Sushi

Rue Marqués de Villamagna, 1
Téléphone : 914313878

99 Ko Sushi est un restaurant situé dans le quartier de Salamanca qui se distingue par sa recherche permanente de la qualité. Et c’est grâce à cela qu’il est devenu un restaurant japonais pour les palais les plus exigeants. Son jeune chef, David Arauz, a su tirer le meilleur parti des produits les plus sélectionnés et les cuisiner avec les techniques du véritable art culinaire japonais. Le restaurant propose deux types de menus fixes : l’Omakase et le Kaiseki, qui se distinguent l’un de l’autre par le fait que ce dernier comporte un peu plus de plats. Les deux options sont parfaites et vous permettent d’apprécier les textures et les saveurs de la brioche, du sashimi ou du robata. Récompensé par une étoile Michelin, le 99 Ko Sushi est l’un des restaurants japonais les plus exclusifs de Madrid.

Le plus hooligan : Umiko

Calle de los Madrazo, 18
Téléphone : 914938706

Un restaurant de fusion japonaise des plus audacieux et amusants, c’est ainsi que se définit Umiko. Ses chefs, Pablo Álvaro et Juan Alcaide, ont réussi à combiner la cuisine japonaise et espagnole, en tirant le meilleur de chacune. La cuisine d’Umiko est très axée sur la matière première, mais ajoute toujours une touche créative avec les fusions les plus folles que vous puissiez imaginer. Avez-vous déjà pensé à combiner du riz cubain avec des sushis ? Ou des nigiri avec le socarrat de la paella ? De plus, la décoration du lieu est totalement fidèle à l’essence du restaurant : des graffitis et des peintures murales de style manga qui créent une atmosphère moderne des plus underground.

Pour tous les budgets : Yokaloka

MARCHÉ ANTÓN MARTÍN, Calle de Santa Isabel, 5
Téléphone : 610602722

Yokaloka est un petit restaurant japonais situé dans le Mercado de Antón Martín. Bien qu’il s’agisse d’une échoppe de petite taille, elle propose une variété de plats de grande qualité à un prix abordable. Parce qu’il ne faut pas se leurrer… la nourriture japonaise est généralement chère. L’une de leurs spécialités est le ramen, bien qu’ils ne le préparent que le mardi et le mercredi. Le reste du menu est assez simple et traditionnel, mais c’est la clé : proposer des plats peu nombreux, de qualité et à un bon prix.

Celui qu’il faut aller voir : Balón Tokio

Calle de Echegaray, 29
Téléphone : 914296509

Balón Tokio est un petit bar où l’on prépare des takoyaki. Et qu’est-ce que le takoyaki ? Il s’agit en fait d’un beignet farci d’un morceau de poulpe et de gingembre à l’intérieur, servi avec différentes sauces. Il est très populaire dans la cuisine de rue japonaise mais à Madrid, il n’y avait pas de lieux spécialisés dans ce plat. Le Balón Tokio est le premier et le seul, mais sûrement pas pour longtemps.

Sushi Bar Hannah : Sushi Bar Hannah

Calle Marqués de Villamagna, 1
Téléphone : 911049687

Mangez des sushis en regardant un film. Ça semble être un bon plan, n’est-ce pas ? Le Sushi Bar Hannah possède deux salles de cinéma à l’intérieur et tous les 15 jours, ils organisent des événements au cours desquels ils projettent un film accompagné de snacks de sushis et de boissons. Le reste du temps, c’est une taverne japonaise où le chef Janek Flemyng offre des propositions qui ne vous laisseront pas indifférents. Il ne s’agit pas de simples élaborations, au contraire. Les plats et la vaisselle elle-même reflètent une délicatesse et une élégance sublimes.

Équilibré et éthéré : Miyama Castellana

Paseo de la Castellana, 45
Téléphone : 913910026

Si vous cherchez de la nourriture japonaise dans le centre financier de Madrid, Miyama Castellana est votre restaurant. Odaka et Hiroshi Kobayashi, sont ceux qui ont réussi à capturer la véritable essence du Japon et à la représenter sous forme de plats. Dans ce restaurant, vous pourrez déguster une cuisine totalement inspirée de la tradition, avec quelques accents occidentaux mais avec une touche de fusion. En outre, Miyama Castellana présente dans son menu des options qui vont au-delà des sushis typiques et récurrents, qui sont encore inconnus de la plupart du public européen.

Et pour finir… le dessert : Wagashi Utanane

Rue Andrés Mellado, 43
Téléphone : 919216921

Pour ceux qui laissent toujours de la place pour le dessert, Wagashi Utanane, une pâtisserie proposant d’authentiques sucreries japonaises servies avec les meilleurs thés. Daifukus, Mochis, Chiffon Cake ou Dorayakis sont quelques-unes des créations que vous pouvez essayer. Malgré la popularité de la gastronomie japonaise en Espagne, les sucreries en sont encore la facette la plus méconnue. Si vous faites partie de ceux qui ne l’ont pas encore découvert, venez vous laisser porter par cette confiserie raffinée qui stimulera vos cinq sens.

Aimeriez-vous faire certains des plats de ces restaurants à la maison?

Nombre d’entre eux achètent les produits, les ingrédients et les matières premières dans notre boutique à Madrid ou en ligne, importés directement du Japon. Parmi les ingrédients les plus populaires, on trouve les nouilles et les nouilles orientales (dont nous avons différentes variétés : blé, riz, sans gluten…), de nombreuses sauces d’accompagnement (teriyaki, soja, aigre-douce, huître) et des boissons alcoolisées comme le saké.